Pascal Aufranc

4/5 (9 avis)

« Terroir préservé et confidentiel »

« Il serait facile de le confondre avec un vin du Rhône septentrional, en raison de son caractère salé et de sa viande crue. Mais avec un peu d'aération, des notes de prune mûre et de violette émergent également. Concentré, avec une multitude de tanins fins enveloppés de velours sur la bouche puissante et concentrée. La finale est très minérale et tannique. À boire dès maintenant, mais meilleur à partir de 2024.» (James Suckling 2022). Une cuvée racée que vous allez adorer !

4.3/5 (3 avis)

« Des notes intenses de laurier, de clou de girofle et de sarriette, ainsi que des notes profondes de cerise noire et de sureau en font un Juliénas unique. Concentré, mais très frais, il possède une acidité vive et des tanins chocolatés qui se forment régulièrement sur la longue finale compacte. Une cuvée des terroirs Les Chers, Les Crots et Les Capitains. Vin de garde. À boire ou à garder. » (James Suckling 2022).

4/5 (4 avis)

«Robe intense et vive. Arômes de cerises noires fraîches, de myrtilles… Le vin est concentré, complexe, équilibré, long. Superbe potentiel de garde ! » (Bourgogne Aujourd'hui - avril 2019). "Juliénas" "Probus", de belles résonances latines qui rappellent que le Gamay est apparu dans le Beaujolais sous l'époque Romaine. Un grand Juliénas !

3.8/5 (11 avis)

«Issue de vignes de 70 ans, la cuvée reste imperturbablement au sommet du cru. 15000 merveilleuses bouteilles de ce Chénas ont été produites. Robe grenat, profonde, arômes de fruits noirs frais, d’épices... Bouche concentrée, veloutée, gourmande, pure avec un côté « Rhodanien » et une grande longueur. Meilleure note de la dégustation 18/20.» (Bourgogne Aujourd'hui - Avril 2020). Une cuvée racée que vous allez adorer !

4/5 (5 avis)

« Robe intense, brillante. Arômes superbes, riches, fins, de fruits noirs, d'épices avec une bouche florale. Bouche racée, dense, juteuse, longue et harmonieuse. Et il n'y a pas d'erreur sur le prix...» (Bourgogne Aujourd'hui, Avril 2018)

4.1/5 (13 avis)

« Vinifiée en grappes entières, puis élevée pour partie en fût (30 %) pendant douze mois, cette cuvée est un hommage à l'empereur romain Probus qui aurait introduit le gamay dans le Beaujolais. Son équilibre entre le fruit et le bois, entre la puissance et la finesse en fait un juliénas au-dessus du lot, porté par des tanins soyeux et d'une grande longueur. » (Le Guide Hachette des Vins 2018)